Un nouveau phénomène apparaît dans le monde de l’entreprise : la souffrance au travail. Voila un nouveau sujet de préoccupation pour les chefs d’entreprise et leur DRH.


Jusqu'à récemment l’objectif des dirigeants était d’obtenir la paix sociale grâce à un savant mélange de système de rémunération, de protection sociale et de conditions « physiques » de travail. Si un grand groupe comme Michelin, Total, Société Générale, parvenait à trouver la formule d’alchimie, les DRH étaient considérés comme nécessaires et utiles. 

Qu’est ce qui a changé ? Qu’est ce qui soudain fait peser un risque de médiatisation négative à tout groupe ? Qu’est ce qui fait qu’un employé considère que l’entreprise a « gagné » le combat qu’il mène au quotidien pour garder sa confiance et la sécurité de l’emploi ? Et qu’il n’y a comme seule solution que celle de disparaître ? 

De nombreuses réponses sont possibles :

·        L’exigence nouvelle à court terme des actionnaires dont la seule motivation est le retour sur investissement ?

·        La course à l’innovation technologique

·        L’omniprésence d’indicateurs de performance qui condamnent le collaborateur à « réussir », car toute déficience est désormais visible en temps réel

·        Et d’autres raisons encore… 

Parmi elles, une raison me parait évidente : la perte des liens relationnels.

Aujourd’hui une journée de travail type est caractérisé par l’importance de la gestion des process, de la communication informatique et donc écrite.

Le collaborateur moyen reste seul devant son écran qui lui impose un certain type de communication visuelle.

Or le plaisir au travail est proportionnel à la « qualité relationnelle » avec ses pairs, sa hiérarchie, ses clients …

Elle développe l’affinité entre les personnes, l’esprit de corps, la cohésion et mobilisation autour des défis de l’entreprise, le sentiment et la fierté d’appartenance à un groupe.

Toutes ces composantes empêchent la solitude, le sentiment d’inutilité, l’incompréhension des enjeux, la critique des autres etc.

Tout ce qui est synonyme de souffrance et d’isolement. 

La solution : créer des occasions de rencontres transversales, participations interactives. Des « journées collaborateurs » où les membres de l’entreprise parlent aux autres membres, vivent un moment convivial unique, partagent leurs exploits et enjeux.

Une journée où l’organigramme est plat. Pas de messe, pas de discours top down, pas de « dramatisation » des défis de l’entreprise, pas de protocole, pas de débauche de technique audiovisuelle. 

Les animations et simulations Eagle’s Flight offrent cette possibilité de renforcer la communication transversale, de découvrir les autres en réel et non visuel, de découvrir les coulisses de l’exploit à tous les niveaux de l’entreprise, de s’entraîner ensemble à acquérir les bons reflex, ou célébrer les victoires du groupe.

L’objectif d’Eagle’s Flight : Contribuer à développer une véritable « Intelligence relationnelle », où chacun contribue en apportant son expertise mais surtout sa joie de vivre, sa motivation, sa force de caractère, son sens de l’aide, sa convivialité.

C’est remettre le plaisir de travailler ensemble au centre de l’entreprise comme élément fondamental de la création de valeur. 
Rédigé par Bergeaud Guy le Mercredi 2 Décembre 2009 à 11:38

Réflexions

Le monde de l'entreprise moderne a des besoins de réactivité, de vitesse, de rentabilité qui laissent bien souvent l'acteur principal de la réussite, le cadre ou le travailleur, sur le carreau. C'est un cercle vicieux qui entraîne l'entreprise vers des pertes concurrençant chaque victoire, comme si la vitesse laissait les équipes exténuées, éclatées et en proie à des difficultés de communication toujours croissantes.

La vie collective au travail semble bien souvent être l'ennemie de l'épanouissement personnel, et il semble difficile de concilier nécessité d'efficacité et prise en charge des ressources humaines. Pourtant la véritable efficacité réside dans le savoir faire pour créer des équipes soudées, orientées vers un objectif commun et entraînées à travailler ensemble comme un véritable groupe avec des relations fluides et sincères entre les membres de l'équipe.

Ne vous y trompez pas, le leadership et le charisme du manager, quoique cruciaux, ne remplacent pas la nécessité de l'entraînement en équipe.

Toutes les grandes équipes sportives le savent, et et ne sont pas avares en heures d'exercices collectifs. La différence, c'est le savoir faire de l'entraîneur, et la qualité des programmes d'entraînement. Dans l'entreprise, c'est la même chose. Les équipes ont besoin d'être entraînées à fonctionner ensemble, et c'est se couper la gorge que de vouloir économiser sur une formation collective, véritable garantie de pérennité et d'efficacité. Le savoir faire dans les programmes de coaching d'équipe, c'est un bien que nous travaillons depuis plus de 15 ans. Il n'est pas question pour nous de sacrifier ce savoir-faire au profit d'activités sans âme dénuées d'objectif.

Pour moi, le Team Building et le Team Learning (cette spécialisation dans des activités ciblées sur des problématiques précises du groupe) sont des vecteurs de réussite qui ont un but : la réussite collective. Je n'ai jamais cru aux solutions miracles. Mais j'ai vu les vertus de l'exercice de groupe, les vertus du débriefing, les vertus des simulations ludiques tout au long de ces 15 années d'expérience.

Les entreprises ont besoin d'avoir des équipes fortes et dotées d'une intelligence collective, pour survivre aux crises et aux aléas de l'existence moderne.

Les défis du développement durable, de la prise en compte de l'environnement sans lequel le jeu ne pourra plus se jouer, ont encore augmenté les difficultés auxquelles les sociétés sont confrontées. La solution existe. Elle s'appelle team learning. Elle s'appelle coaching d'équipe. Et ce n'est pas quelque chose que l'on se contente de rêver. On le rêve, et on le fait.
Rédigé par Bergeaud Guy le Lundi 7 Septembre 2009 à 10:36

Team Building

Mardi 7 Juillet 2009
L’été bien entamé, les moyens de dynamiser les équipes en cette période se doivent d’intégrer les spécificités dues au climat.

Alors que nombre d’entre nous vont partir en vacances, et que la période estivale est réputée pour être la plus calme de l’année, qu’est-ce qui peut motiver une équipe pour atteindre des objectifs qui ne se laissent pas influencer par les conditions extérieures ?

La chaleur et l’attirance des vacances ne sont pas forcément un frein incontournable quand une équipe est réellement motivée et fonctionne avec une synergie opérationnelle forte.
 
Des activités comme par exemple Salsa Team, Calypso Team, sont nées dans un esprit tropical certes, mais elles développent un esprit d’équipe, une énergie de groupe qui résiste à toutes les chaleurs, et un enthousiasme qui plutôt que de fondre l’été se nourrit des mois les plus chauds.

N’espérez pas motiver vos collaborateurs d’entreprise avec un séminaire long et fastidieux lorsque leur esprit est tout accaparé par d’autres horizons.

Par contre, avec des activités ludiques, dynamisantes, pleines de découvertes et d’énergie, vous pouvez créer les vecteurs d’une période estivale réussie et productive quand les autres sont au ralenti. 

La crise nous a appris une chose : c’est de l’intérieur qu’on peut passer au travers en continuant de progresser. C’est avec de l’initiative, de l’enthousiasme, de la créativité qu’on peut surmonter les obstacles qu’elle dresse sur notre chemin. Rien ne peut arrêter une équipe soudée, vivante et habituée à fonctionner en synergie. Nos animations de Team Building sont faites pour créer cette cohésion et cette énergie, et nous sommes heureux d’être à votre service pendant les mois de juillet et d’août !
Rédigé par Bergeaud Guy le Mardi 7 Juillet 2009 à 11:57

Team Building

Jeudi 30 Avril 2009
Lors du salon "Les Couleurs de l'Evénement Parisien" et dans le cadre d'une table ronde centrée sur la prospective, Alex Taylor, animateur de TV, faisait remarquer que le format des événements d'entreprise n'a que peu évolué dans les 20 dernières années. Il se plaignait en particulier de l'inévitable suite de discours "top-down" au pupitre avec abondance de "Powerpoints".  Il faisait aussi référence aux après-midi difficiles - pour ne pas dire soporifiques - qui font tout sauf motiver et informer (ce sont les 2 objectifs d'un événement réussi).

Depuis 1993, Eagle's Flight promeut des événements participatifs ("bottom-up"), des événements où les participants sont sollicités pour en devenir les acteurs. La récession  actuelle rend encore plus nécessaire la création d'événements innovants, conviviaux et responsables. Alors voici quelques perspectives qui, nous en sommes convaincus, assureront demain le succès des événements d'entreprises.

1 - Des événements qui ont du sens

On y évoquera bien sûr les orientations stratégiques, mais bien plus encore les vrais challenges de l'entreprise en termes de responsabilités, d'engagement dans la protection de l'environnement, dans la recherche d'une nouvelle éthique des affaires. les "guest stars" seront des philosophes, de champions de la "double bottom line" qui ont réussi à magnifier la dimension humaine dans leur entreprise.

2 - Des événements centrés sur les liens relationnels

Ce sont des occasions formidables de renforcer les effets de synergie, les liens relationnels à condition que leur forme permette aux participants de se rencontrer, d'échanger leurs meilleurs pratiques, d'apprendre et d'agir ensemble. Ce n'est pas en restant assis dans un vaste auditorium que cela peut se produire. Des activités de Team Learning reproduisant les problématiques de l'entreprise permettent de favoriser le "networking" et l'apprentissage collectif.

3 - Des événements responsables

Il devient évident que les nouvelles technologies, nouvelles matières recyclées ou recyclables, les approches minimalistes, les approvisionnements privilégiant les acteurs économiques locaux vont permettre de créer des événements "verts" avec un minimum de gaspillage et de superflu. Les participants eux-mêmes exigeront que les règles du développement durable soient respectées.

4 - Des événements conviviaux

Les dirigeants de l'encadrement sont souvent perçus comme très éloignés des équipes de terrain. Demain, tout comme le font les politiques, les leaders devront créer des événements favorisant les rencontres, une proximité et une convivialité nouvelles. Les présentations sur scène avec "Powerpoints", les tables rondes statiques, les conférenciers créent un effet inverse : l'impression d'une distance, d'un, d'un discours "top-down" de "sachants" à non "sachants". Demain, grâce à des activités participatives et ludiques de groupe, les événements seront de grands moments de convivialité, de proximité et de "networking". Le retour sur investissement sera évident grâce à la simplicité et l'efficacité des communications entre les dirigeants et leurs équipes terrain.
Rédigé par Bergeaud Guy le Jeudi 30 Avril 2009 à 11:09

Team Building

• Il ne se passe pas de jour sans que les médias ne critiquent les comportements, les  faiblesses,  les irresponsabilités voire inconséquences des équipes dirigeantes.

• Si ces attaques visent directement les cadres de haut niveau, elles ne manquent pas de déstabiliser, inquiéter et créer de fortes interrogations parmi les cadres supérieurs, managers et collaborateurs en général.

• Les effets négatifs de telles campagnes ne sont pas visibles à court terme car chacun continue à s’engager au quotidien dans la réalisation de sa tâche.

Mais elles ont un effet pervers, celui de priver les collaborateurs d’une confiance dans les buts de l’entreprise, dans son utilité et sa contribution à la société. Elles peuvent laisser penser que le seul objectif d’une entreprise est de rémunérer des actionnaires. C’est faire abstraction des réelles responsabilités et contributions sociales de toute entreprise, à l’échelon local, national, et international.

• Ce qui fait la qualité d’une équipe ou d’un groupe c’est l’adhésion sans réserve de ses membres à un but commun, à des valeurs communes et à des relations étroites entre ses membres.

• Demandez à Fabien Galthié, célèbre rugbyman ce qui l’a motivé au quotidien pendant ses années de gloire : il vous répondra "Porter le maillot".

C’est cette fierté, cet attachement aux buts et valeurs de l’entreprise, cette adhésion à une culture d’entreprise qui risque de manquer terriblement aux équipes, les empêchant de capitaliser sur cette source d’énergie et d’intelligence collective sans limite.

• Les événements d’entreprises (séminaires, congrès, rencontres) participatifs, expérientiels, conviviaux sont une réponse efficace pour combler le vide de sens. 

Ce sont des événements "bottom up", où les participants deviennent acteurs, responsables de la mise en valeur des buts, valeurs et des meilleures pratiques de l’entreprise. Accompagnés par des coachs, ils ont l’occasion de renforcer leurs liens relationnels, vivre une véritable proximité avec les équipes dirigeantes, ressentir une nouvelle énergie collective et se "déterminer" ensemble.

• Nous créons avec vous ce type d’événement grâce à nos solutions de Team Learning et de Team Building. Des événements qui redonnent du sens à l’engagement de chacun, et qui renforcent les liens relationnels pour mieux maîtriser l’environnement hostile.

Rédigé par Bergeaud Guy le Lundi 6 Avril 2009 à 10:57

Team Building

La crise change-t-elle la nécessité de fédérer les équipes ? Faut-il cesser l'organisation de séminaires en équipe dans un soucis d'économie ?


En période normale, les objectifs liés à l’organisation d’un séminaire ou d’un évènement d’entreprise sont :

Développer les relations entre les participants.

Permettre l’appropriation de nouvelles informations.

Favoriser la motivation.
 
En période d’incertitude, comme celle que nous vivons, un 4ème objectif doit être ajouté pour justifier le coût d’un évènement : donner du sens.
 
En effet, la responsabilité des leaders pour donner confiance, pour compenser l’impact des mauvaises nouvelles, est de « resituer » les décisions de l’entreprise dans le cadre d’objectifs à long terme, de valeurs et de principes qui ont fait  la réussite de l’entreprise.

Les décisions quotidiennes peuvent donner l’impression d’une fuite en avant, d’une course à la survie.
Les évènements et séminaires sont l’occasion de parler directement aux collaborateurs de la vision de l’entreprise, au-delà de cette situation de crise, de rassurer sur le respect des principes opérationnels et des règles du jeu qui doivent être explicites.

La tentation pour les leaders est d’économiser et de supprimer ce vecteur de communication, ou de repousser les rencontres à des jours meilleurs.

Cette approche est dangereuse car elle crée un « vide » de communication qui sera rempli par les mauvaises nouvelles.

C’est précisément dans les moments difficiles que les leaders font la différence en :

Réunissant leurs équipes.

Leur parlant avec sincérité des défis de l’entreprise.

Démontrant en direct leur détermination.

Renforçant la confiance des collaborateurs.

Créant des occasions de partager des émotions fortes, de créer de la complicité et donner du sens à tous les efforts demandés.

Il vaut mieux réduire les budgets, réduire le programme de l’évènement, que d’annuler une rencontre car le risque serait alors de se priver des valeurs du leadership qui conduisent les équipes à la victoire. 
 
Rédigé par Bergeaud Guy le Vendredi 13 Mars 2009 à 16:53

Team Building

Beaucoup d’observateurs annoncent la fin des démarches et des programmes RSE à cause de la priorité nécessaire accordée à la rentabilité en période de crise.



Ils expliquent que des entreprises obsédées par une recherche de rentabilité à court terme et par leur propre survie ne peuvent engager des initiatives « bonne conscience » pour assurer la protection de l’environnement et de certaines communautés.

Notre point de vue est différent. La crise a très sévèrement mis en péril l’image de grands groupes, établissements financiers, assurances, etc.

Si ces entités n’intègrent pas dans leur stratégie des engagements et des décisions qui vont au-delà de la simple adhésion à des obligations légales et à des règlements elles ne profiteront pas du redressement des économies.

Peter Senge de la Sloan School Manager MIT va un peu plus loin en affirmant que des entreprises vont devoir « intégrer dans leur stratégie et tactiques des problèmes autrefois considérés comme extérieurs à leur sphère d’influence ».

Par exemple Coca Cola, depuis 2002, a lancé une enquête sur les usages de l’eau et des risques courus par les communautés voisines de leurs sites de production.

Ils ont lancé un vaste  programme qui va au-delà du simple respect des obligations légales et des contraintes de productivité. Ils se sont rapprochés des communautés locales mais aussi internationales pour anticiper les challenges liés à cette ressource capitale qu’est l’eau.

L’approche n’est pas philanthropique. Elle est une évaluation réaliste de leur véritable niveau de responsabilité.

La RSE fera désormais partie de l’ADN des entreprises, comme fondement de toute stratégie à long terme.

Les entreprises prendront une responsabilité totale au niveau local (malgré une stratégie globale), en examinant chaque maillon de la chaîne de valeur (responsabilité verticale), et sur tous les continents (responsabilité horizontale) ?

La prise en charge de la responsabilité sociétale a toute la chance d’être accélérée par la crise, et l’émergence d’exigences nouvelles de la part des clients, des collaborateurs, des actionnaires des sociétés civiles et de toutes les parties prenantes.

Dans cet esprit, Eagle’s Flight met à la disposition des entreprises des simulations, business games et activités d’entraînement pour sensibiliser et mobiliser les équipes d’encadrement et les opérateurs autour de ces nouveaux critères d’efficience managériale.

La prise de conscience d’un risque est à la base de tout changement.

La conjoncture actuelle est le moment idéal pour créer une prise de conscience à tous les niveaux de l’entreprise, et partager les nouvelles règles du jeu avec l’ensemble des acteurs des sociétés.

Rédigé par Bergeaud Guy le Vendredi 6 Mars 2009 à 12:37

Actualité

La conjoncture actuelle oblige à remettre en cause les solutions et méthodes de travail pour rechercher une plus grande unité d’action.
Dans la plupart des équipes, l’énergie des individus est dépensée en tous sens.
Chacun travaille intensément mais ne bénéficie pas de l’effet de synergie.


Or aujourd’hui toutes les grandes décisions sont prises par des équipes ou en tout cas sont appliquées par elles.

L’apprentissage en équipe est une discipline peu pratiquée dans les entreprises.

Elle est courante dans les domaines du sport, de la musique et du théâtre où les groupes s’entrainent pendant des heures à acquérir une véritable "intelligence d’équipe" dans l’action.

Mais 3 conditions doivent être respectées pour gagner ensemble en efficacité :

1 - Une organisation qui permet de profiter au maximum du potentiel d’intelligence de tous les membres. Des résistances psychologiques empêchent souvent le groupe d’être plus intelligent collectivement.

2 - La coordination des équipes est vitale. Les meilleurs exemples se trouvent dans les grandes équipes sportives ou dans le jazz qui bénéficient d’une grande "confiance opérationnelle". Chacun est à l’écoute des autres pour contribuer à bon escient.

3 - Le groupe qui apprend (une équipe de direction) doit fonctionner ensemble et transférer son "savoir faire d’apprentissage" aux équipes qu’il dirige.

Mais la principale condition pour évoluer c’est la pratique. Elle manque beaucoup en entreprise. Il s’agit d’alterner "entrainement", "action", "débriefing"…

Cette discipline de l’apprentissage collectif permet d’acquérir de nouvelles compétences telles que :

- L’art du vrai dialogue afin de partager les points de vue et développer une pensée cohérente collective.

- La maîtrise des conflits d’idées et des attitudes d’auto-défense qui en découlent.

- La capacité à créer ensemble des réflexes collectifs, véritable savoir faire différenciant permettant d’optimiser l’action.

Eagle’s Flight a développé des "outils" d’apprentissage en équipe pour les managers.

Ce sont des "Business Games" / simulations / mises en situation permettant d’appréhender en équipe et en groupe des sujets tels que :

- Les problèmes complexes mettant en jeu des phénomènes systémiques
- Les comportements en situation de crise
- La prise de décision collective
- L’expérimentation de nouvelles solutions
- La découverte d’opportunités cachées, de leviers insoupçonnés


Le bénéfice pour les équipes :

1 - Savoir se confronter aux enjeux de l’équipe

2 - Le développement d’un esprit d’équipe (savoir être)

3 - L’adoption de principes opérationnels

4 - L’appropriation de nouvelles pratiques communes

La "crise" doit se gérer en équipe. C’est le moment d’investir du temps dans la construction d’équipes professionnelles capables de faire face ensemble à l’inconnu, la pression et l’accélération.

La solution : le Team Learning.
Rédigé par Bergeaud Guy le Mardi 10 Février 2009 à 11:18

Team Learning

Cette période instable où chaque communiqué à la radio ou à la télévision est synonyme de mauvaise nouvelle crée un haut niveau d’insécurité où d’inquiétude chez les cadres et les employés.


C’est le moment où les vrais leaders font la différence d’avec les managers. C’est le moment de passer d’un pilotage de type manager (gestion des objectifs et des process) à celui de type leader (recentrage sur les buts, inspiration, motivation, responsabilisation).

C’est le moment de canaliser les énergies en direction des buts de l’entreprise et de créer une nouvelle dynamique basée sur un « leadership partagé ».

Le Teamlearning est un excellent outil pour mobiliser l’organisation dans ces circonstances. Ses avantages sont :


  • Renforcer les liens et relations entre les individus.



  • Favoriser le décloisonnement de l’organisation.



  • Bénéficier de la richesse des points de vue complémentaires.



  • Entraîner les équipes à résoudre les problèmes plus rapidement et plus efficacement.



  • Redonner confiance sur la capacité des équipes à relever des défis ensemble.



  • Faire émerger un leadership naturel chez certains membres d’équipe.



Le Teamlearning est une discipline d’équipe et de groupe qui comprend 3 étapes :

1. Voire en équipe ou en groupe une expérience commune de résolution de problème à partir d’une simulation ou d’une étude de cas.

2. Débriefer en équipe ou en groupe comme le font les grandes équipes sportives pour identifier les points forts et les axes de progrès.

3. Transposer les enseignements acquis ensemble à la réalité quotidienne de l’équipe ou du groupe. C’est identifier les similitudes et décider des actions concrètes destinées à accélérer la dynamique d’équipe.

L’effet miroir créé par la simulation favorise la connaissance de soi, les prises de conscience individuelles et collectives et surtout la motivation à changer et à atteindre ses buts.

Quelques-unes de nos activités ont acquis une renommée à l’échelle mondiale pour leur impact et leur capacité à mobiliser vers la performance.

Ce sont « l’Or des Rois du Désert; » (différence entre activité et productivité), « Promesses-promesse » (la chaîne de service), « Excelleron; » (créer plus de valeur par la communication et la qualité relationnelle), « Pumping the colors; » (des équipes transversales au service du client).

Nos coachs d’entreprise sont maîtres dans l’art du questionnement pour créer les prises de conscience créatrices de changement, de motivation et surtout de confiance en équipe.

La seule sécurité des équipes est leur niveau de confiance individuelle et collective.

C’est là le principal résultat du Teamlearning.

Rédigé par Bergeaud Guy le Mardi 27 Janvier 2009 à 10:25

Team Learning

Je suis frappé par le décalage qui existe entre la volonté des dirigeants de faire des évènements d’entreprise un élément stratégique de la politique de communication interne et la relative banalité du conformisme de leur mode de communication dans ces circonstances.


La plupart des évènements se déroulent selon un processus standard fait d’une succession de discours, d’éventuels débats sur scène ou d’interventions d’invités (guest stars) plus ou moins charismatiques. Ces interventions sont souvent suivies par des ateliers de réflexion en équipe avec des propositions exprimées en plénière.

L’impression que gardent les participants à la fin de ce type d’évènements est celle d’un long discours « top down », mélange d’information, d’incantations ou de critiques. Les discours « moralisateurs » de nombre de dirigeants sont de moins en moins bien reçus et la « motivation » finale, objectif de la rencontre, n’est pas toujours supérieure à l’arrivée.

Renforcer les liens relationnels

Je considère que ces rencontres ne sont pas des lieux d’information descendante (il y a aujourd’hui de nombreux medias internes bien plus efficaces) mais plutôt des occasions de renforcer les liens relationnels, développer la fierté d’appartenance, agir et vivre ensemble des expériences uniques, ressentir des émotions fortes liées à la perception de la puissance du groupe et de la capacité à relever ensemble toute forme de défi.

Des participants acteurs et non spectateurs

La solution : des évènements créés sur mesure où les participants sont sollicités dès les premières minutes de l’évènement pour devenir acteurs de l’évènement. C’est eux qui vont à la rencontre des dirigeants et des experts, c’est eux qui partent à la conquête de l’information utile, c’est eux qui expriment à l’encadrement leurs motivations et leurs interrogations.

C’est eux qui vérifient leur capacité à relever ensemble des défis, découvrent leurs facteurs de succès et se préparent à une action coordonnée.

Un évènement n’est pas la démonstration du leadership des dirigeants, mais bien celle d’un leadership collectif et partagé.
Rédigé par Bergeaud Guy le Mardi 27 Janvier 2009 à 10:22

Team Building

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Guy Bergeaud en séminaire
Guy Bergeaud
Guy Bergeaud en séminaire
Guy Bergeaud au micro
Guy Bergeaud
Guy Bergeaud temps mort
Guy Bergeaud hélicoptère
Guy Bergeaud Développement Durable